Haiku, poesie japonaise

La poésie japonaise

Le Haïku est à la poésie ce que le sushi est a la guarantita chez nous... simplicité, pureté...
C'est une poésie simple, courte, qui suscite tout de même l'émotion.

Le Haïku est, dans sa forme la plus classique, un poème composé de trois vers de cinq, sept et cinq syllabes.
Il doit, traditionnellement, situer une saison : c'est ce que l'on nomme Kigo , ou, "mot de saison".

Il peut également être humoristique, critique, irréverencieux.

exemples de Haïku:

Dans le vieil étang
Une grenouille saute
Un ploc dans l'eau!
Basho

kono aki wa
nande toshiyoru
kumo ni tori

Cet automne-ci
pourquoi donc dois-je vieillir ?
oiseau dans les nuages

Bashô

L'ombre se promène
Et tous les feux qui nous brûlent
L'amour nous prend dans sa chaîne

Basho.

ça interresse paersonne ce que j'dit comme d'hab mais j'continue quand meme, les gars la poesie nipponne c'est super beau apprenez a decouvrir d'autres horisons, t'façon moi j'contenu a tenir ce sujet quitte a etre tout seul!

Le printemps est là.
J'entends le bruit des vagues
De dessous mon bureau.
Hiashi nobu tsukue no shita ni nami no oto.


Un petit lézard
Clignait des yeux
Sous le cheval.
Ko-tokage no matataku kao ya uma no shita.

Par temps sec
Une grosse pendule cassée
Dans le delta du fleuve.
Koware dokei yokotau kanten no sankaku-su.

j'avoue que c'est a ne rien comprendre cette poesie mais c'est toute la beauté du truc, il faut savoir deguster des phase genre:"Un petit lézard
Clignait des yeux
Sous le cheval." et c'est toute un art!

wé c vré ke ça na aucun sens mé c bo

j'espere que c'est beau en tout cas, t'imagine si c'etait vraiment de la "merde" on ferais tout les deux le couple le plus snob de tout bladem LA HOOOOOOOOONTE!

Ps: j'me permet de chatter avec toi, paske primo je suis l'admin et j'peux faire tout ce que j'veux et deuxio paske personne apart toi et moi ne va lire ce topic

Sous les nénuphars
Les grenouilles vocalisent
Concert du matin

Souliers avachis
Attendent les remplaçants –
Mais suis sans le sou !

Ce onze septembre
Vents d’automne emportent blancs
Spectres et poussières


L’absence est immense
L’ennui ici plus que terne
Tout dort, tout est fade