Poesie blademienne

un petit coin pour mettre vos poesies et les critiques... a vos plumes

Noir est le sujet que j'aborde
ce sont des épines que j'apporte
le portail de la haine est grand ouvert
quand pour sortir de l'amour il faut se couper les veines
haïr est plus facile que de aimer
et pourtant c’est du cœur que tout les deux émergent
appart le sourire de nos mères
a nos drames il n'y a point de remède
désormais, le mal est enracine en nous
a ranimer en nous, la rage et les remous
a la marge la rage est plus féroce
la force est avec nous aujourd’hui c’est différent
la déferlante de la violence nous emporte
et ils cautionnent, les pétards c’est eux qui les importent
la violence et inscrite dans nos gènes
l'amour est divin la haine est humain

Laisses moi t’aimer sans te voir, sans te toucher,


Laisses moi saisir les cris de nos cœurs arrachés…





Rien que nos êtres, rien que nos rêves, rien que nos mots,


Pour partager la cruel laideur de nos maux ;


Que nos faibles corps se figent et se végétalisent,


Sur cette terre violâtre que l’instinct brutalise ;


Chère cœur que je chérie, aimons nous un instant


Et vivons loin de l’autre, la légende d’un printemps.





Laisse moi t’aimer sans te voir, sans te toucher,


Laisse moi saisir les cris de nos cœurs arrachés…

La rage ralliée a l’amour nous rends plus forts
Pauvre de ton regard on est devenue carnivores
de cette Récompense si rare,
tresor quii nous rends richards
nos vers notre offrande a votre grande lumière
pour qu’elle eclaire notre monde obscur
notre vie si dur se fascillite par votre presence
nous sommes subitement sombrer dans une riviere de jouvence
mais si alterer quand viens l’heure du départ
reste donc rappellez nous, faites nous boire
le vin des souvenirs avant que vient le vent du desespoir
rester donc dans nos bras
vos sourires caressant nos reves
et nos corps caressant les draps

On se croit poète en cet instant
On se croit poète pour un moment
Mais dès que les maux sont mourants
Les mots s’envolent avec le vent .

Imagine un endroit
ou on serait tous ego en droit
Ou les rose poussent même dans les trottoir
Sans haine ni désespoir
Un lieu sans drame ni peine
Ou la justice est la reine
Ou elle vois mieux les pressions sur ses fils
Et l’oppression et les complots qui se tissent
Sa sœur l’égalité se renforce
Dehors je vois mais frères qui se sert en force
mais J’observe en realite la société se transforme
Le mal se propage jusqu'a pollut l’homme
Les peuples sont nés frères
Ce n’ait pas normal qu’ils se fassent la guerre
Je rêve d’une place ou la paix domine
Sans sang qui coule et sans crime
Sans vole ni agression Sans meurtre ni prison
Sans police qui nous soule sans raison
Le temps est court faut en profiter, vivre sa vie
Demain tous sera fini sans préavis
Entre paradis enfer qui peut prédire l’avenir
Seule dieu sait comment doit on finir
Alors je ferme mes yeux et je rêve
D’un endroit ou me reposer avant que je crève

ma gorge regorge d’un gout amer
ma mere ma dis d'eviter l’amour
mes rares sont les fois ou j'l'ecoutait elle !
donc aujourd’hui je suis sont reperes
le miel des jours heureux semblait eternel
mais ta me la bien fait a l’envers
pourquoi me faire mal
l’amour est -il si sale
pourquoi je me sens si seul
je revois ces scenes
au cinema mes mains caressant tes seins
je degustais tes levres comme des raisins
je croyais que le destin m'avait souris
mais j'etais simplement en sursis
presecieuces instants ou le bonheur etait present
maitenant je vis dans une prison
ton visages se dessine sur le mur de la maison
se sourir qui ferait tomber toute le quartier
et se regards qui partage mon coeur en 2 moitie
pourquoi tu joue avec, tu jongle avec
que tu te la joue allumeuse devant tout les mecs
tu vends ton charme contre mes larmes
et le coussin dit stop tellement il en n'a marre
le coeur a mal , brules par tes flammes
tu reclames l'innocence, alors que tu joue avec le chitane
la passience tue la passion
si j'etait aveugles eclair ma vision
trop longtemps en sommeil
je m'leve me reveille
ses reves vermeil se ternissent
l'ennui s'installe et s'eternisent
je pensait que tes sermon etait veridique
pas encore de verdict, mais je te laisse une derniere chance
o souvenir des bon moments qu'on a passe ensemble.

Mal d'Amour






Hélas, les roses ne sentent pas !
Et leurs épines ne les blessent pas,
Et leurs senteurs ne frappent pas à la porte des
[coeurs
Elles entrent, prennent ce qui a une valeur et
[repartent
Oh ! voleur au milieu des nuits,
J'ai tant voulu qu'on te coupe tes ailes,
Tu bois l'eau que je bois
Tu respires l'air que je respire
Mais tu me fais boire de la lave, pourquoi ?
Pourquoi quand tu vis je meurs ?
Et quand je vis tu restes silencieux ?
Et quand je meurs tu restes silencieux ?
Et dans ton silence je meurs ?
Difficile est l'homme qui dans un jardin,
Les roses plaisent à ses amis
Et ne font point mouvoir son âme
Difficile est l'homme voyant,
Qui ne peut voir la lumière du soleil
Le jour lui apparaît alors nuit et obscurité
Regard de lynx mais
Aucun aveugle ne voudrait de sa place.