Je sais pas si vous connaissaiz khalli gibran , sachez juste que c'est un ecrivainet peintre arabe contemporaine et puis apprecier ses ecrits.
"Tu es aveugle. Je suis sourd-muet.
Que ta main touche la mienne et que la communication soit.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 50)
Notre esprit est roche, notre cœur est ruisseau.
N'est-il pas étrange que la plupart d'entre nous choisissent de recueillir l'eau plutôt que de la laisser s'écouler ?
(Le sable et l'écume , Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 51)
La moitié de ce que je te dis est dénué de sens, mais je le dis afin que l'autre moitié puisse t'atteindre.
(Le sable et l'écume , Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 53)
Il faut toujours connaître la vérité, et parfois la dire.
(Le sable et l'écume , Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 55)
Tout homme aime deux femmes :
l'une est création de son imagination,
l'autre n'est pas encore née.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 73)
L'amitié est toujours une douce responsabilité, jamais une opportunité.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 74)
Si tu ne comprends pas ton ami en toutes circonstances, jamais tu ne le comprendras.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 74)
Tu ne vois que ton ombre lorsque tu tournes le dos au soleil.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 77)
Si ton cœur est un volcan, comment espères-tu que fleurissent tes mains ?
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 84)
De grâce, n'efface pas tes défauts innés par tes vertus acquise.
Je préfère tes défauts, ils ressemblent aux miens.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 85)
La pitié n'est que justice amputée.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 89)
Le seul qui ait été injuste envers moi est le frère de celui envers qui j'ai été injuste.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 90)
N'est-il pas étrange de nous voir défendre plus farouchement nos erreurs que nos valeurs ?
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 95)
Un beau jour, je parlai de la mer au ruisseau, et le ruisseau me considéra comme un fabulateur.
Un autre jour, je parlai du ruisseau à la mer, et la mer me considéra comme un diffamateur.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 103)
Quand tu chantes, sache que l'affamé t'entend avec son ventre.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 105)
La mort n'est pas plus proche du vieillard que du nouveau-né ; la vie non plus.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 106)
La racine est une fleur qui dédaigne la gloire.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 108)
Point de religion ni de science sans esthétique.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 108)
Combien noble est celui qui ne veut être ni maître ni esclave.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 109)
Le désaccord pourrait être le chemin le plus court entre deux opinions.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 110)
Le fanatique est un orateur, sourd comme un pot
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 112)
Si tu révèles ton secret au vent, tu ne dois pas lui reprocher de le révéler à l'arbre.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 129)
Lorsque je me tins devant toi, tel un miroir limpide, tes yeux plongèrent dans les miens et contemplèrent ton image.
Alors tu me dis : " Je t'aime. "
Mais en vérité, tu t'aimais en moi.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 134)
L'art est un pas de la nature vers l'Infini.
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 144)
Nos larmes les plus sacrées ne recherchent jamais nos yeux. "
(Le sable et l'écume, Albin-Michel, trad. Jean-Pierre Dahdah, p. 144)
P.S: j'en ait d'autre ...